jeudi 24 mars 2016

12 trucs que croient les psychiatres et qui vont vous énerver par Pink Belette

1: Sur la souffrance : si vous souffrez autant, c'est disproportionné, donc pathologique. C'est donc votre cerveau qui déconne. Inutile de chercher d'ou vient la souffrance, c'est congénital, vous n'y pouvez rien.

2: Si vous êtes schizo, maniaco, etc... , c'est à vie. Mais bon, une maladie mentale, c'est comme un diabète, ça se traite mais ne se guérit pas. (Citation d'une infirmière : « la psychiatrie n'a pas pour vocation de guérir »)

3: Tout médicament a des effets secondaires, c'est normal, donc.

4: Vous voulez dire que c'est le vécu de la personne qui l'a rendu malade ? « Oh, vous savez, c'est comme l'histoire de la poule et de l'oeuf, on ne peut pas savoir qui était là avant » (cit.!)

5: Si vos parents toxiques persistent à s'inviter dans la loge du psychiatre, sachez que : les parents ont toujours raison et sont évidemment toujours bienveillants à l'égard de leur enfant. Ils déforment tous vos propos, faits et gestes ? C'est vous qui n'êtes pas dans la réalité et c'est vous qui les faites beaucoup souffrir avec votre maladie, soyez-en conscients

6: Plus la dose prescrite est forte, plus vous allez vous remettre rapidement, on pourra toujours baisser après, pour un « traitement au long cours »...

7: Vous parlez de votre âme comme si elle existait et avait la plus grande importance, c'est forcément un délire mystique de votre cerveau malade

8: Vous demandez des preuves scientifiques, le Vidal, des explications, bref vous êtes en opposition et il faut vous remettre à votre place de malade qui est censé écouter et obéir au médecin.

9: Règle absolue : Il ne faut jamais dire à un psychiatre « vous n'avez pas le droit » (bien sûr, les psychiatres ont tous les droits même s'ils n'ont pas d'arguments).

10 : Vous trouvez que l'ambiance dans le service est totalitaire et osez émettre des critiques : c'est donc que vous avez un grave trouble du comportement.

11 : « Ah non, les neuroleptiques n'affectent pas les capacité intellectuelles »...
Mais non, ils ne rendent pas malheureux, dépressif, angoissé, c'est votre maladie et il faut donc revoir votre traitement à la hausse ou changer pour une molécule plus lourde qui va vous anesthésier la conscience, vous verrez, vous n'aurez même plus conscience d'être dans la merde...

12 : « Vous êtes en soins sous contrainte, donc c'est nous qui sommes responsables de vous, vous perdez vos droits, etc »...
Le patient : « et vous, vis-à-vis de moi, vous êtes redevable de quoi ? »
« Je vous triple la dose, vous avez de graves troubles du comportement » (cit. d'une psychiatre lors d'un premier entretien)

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